En ce 14 juillet, l’occasion est belle pour réhabiliter ce couplet oublié de la Marseillaise, écrit par Rouget de Lisle :
« Arbre chéri, deviens le gage
De notre espoir et de nos voeux :
Puisses tu fleurir d’âge en âge
Et couvrir nos derniers neveux ! (bis)
Que sous ton ombre hospitalière
Le vieux guerrier trouve un abri,
Que le pauvre y trouve un ami,
Que tout Français y trouve un frère ! »
Merci Véronique. Bon dimanche